Eh oui, il est de ces pages qui jamais ne s'écrivent et toujours restent blanches. On nous fait parfois croire que des lignes, des paragraphes, vont soudainement jaillir sous nos yeux: espoir bien trop présomptueux... la page reste tout autant synonyme de néant et personne n'a visiblement l'intention de lui offrir l'encre qui est pourtant le propre de son existence! Elle n'est d'ailleurs pas si exigeante quant à la qualité subjective de la plume: le rêve éveillé se suffit à lui-même et n'a aucunement besoin de superficialité! Notion extrêmement difficile à assimiler s'il en est.
jeudi 5 février 2009
Syndrome persistant de la page blanche
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1 commentaire:
Ah ben la page blanche ca me connait! ^^
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